Le bonheur

Effaçons la buée de nos vies et découvrons le bonheur.
Le buée pourrait s’apparenter à des masques, à des voiles que nous nous autorisons à porter en croyant que ces filtres vont nous conduire vers la réussite et le bonheur.
De ce que j’ai compris de la vie est que nous nous leurrons à résonner nos peurs qui alimentent nos filtres dans le but de se confondre dans la masse populaire pour ne pas faire de vague.
Et plus nous alimentons nos filtres, nos masques et plus l’on s’éloigne de soi même, plus on s’éloigne de son propre bonheur.
L’identifier passe par l’introspection de ce qui résonne en soi avec et sans les peurs de la vie et les conditionnements extérieurs.

Qui sait mieux que soi comment actionner son bonheur?

La facilité serait de se reposer sur ce que pense résonner les autres, sur leur définition illusoire basé sur leur filtre, qui d’une façon ou d’une autre impacte notre vérité intérieure. Celle qui n’est accessible qu’en regardant à l’intérieur de soi, sans jugement.

« celui qui regarde à l’intérieur s’éveille »

nous enseigne karl Gustav Jung. C’est un travail difficile qui fait appel à l’humilité, à la bienveillance de se dévoiler seul face à soi même et de s’autoriser à se voir tel que nous sommes.
On se ment pour plaire, pour exister et trouver sa place dans une société basé sur le paraître (par être) et la peur.La peur de ne pas être à la hauteur et d’être abandonné ou rejetté.

Qui abandonne qui ?

Nous existons avant tout face à notre propre regard.Il est temps de baisser les masques et de se montrer comme nous sommes, des êtres à la fois forts et vulnérables. Le bonheur n’appartient qu à celui qui le partage dans le souci de l’intégrer à sa propre vérité et à sa propre résonance.Nul n’est sensé connaître ce qui vibre au plus profond de nos êtres car nous y sommes parfaitement imparfait et c’est ce qui créer le bonheur universel.Chacun apporte sa part de soi, sa part de bonheur d’exister avec le monde et la vie.